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17 avril 2006

Le souvenir

A toi que j’aime.

Je te dédis ces quelques lignes sans cité ton prénom mais tu as sûrement du te reconnaître.

Je me souvient de ce jour ou nous deux nous remontions la rue de la Liberté, cette rue que nous avions remonté tant de fois ensemble car chaque soir je te raccompagnais à ton arrêt de bus. Mais ce soir là n’était pas comme les autres, oui car dans la journée (quand nous étions au bar) tu voulais me parlé d’une chose qui devait attendre le soir même.

Le soir venu tu me semblait nerveuse et ta nature timide qui n’arrange pas les choses n’as pas du t’aider beaucoup. A la hauteur du kebab (celui ou tu en commende un avec de la sauce blanche et sans oignions), je tais demandé se que tu voulais me dire(je savais déjà se que c’était mais je voulais te l’entendre dire de ta propre voix)et vers la pharmacie (celle qui est en face de la petite rue ou est  « le comptoir irlandais ») tu m’as déclaré ta flamme et la j’étais le plus heureux de la terre (je le suis toujours).

Nous avions finis notre petit bout de chemin main dans la main jusqu’à ton arrêt de bus, là ou nous nous sommes embrassé et ou nous le faisons encore quand tu par pour prendre ton bus.

Ce jour, le 29 Novembre 2005 le jour ou en un court instant je suis devenu l’homme le plus heureux du monde.

Sur le chemin de mon retour je me suis rendu compte que les 5 mots tu avais prononcé de ta bouche si délicate m’avais redonné la force et continuant mon ptit bout de chemin, on pouvais voir mon sourire (celui que je ne peut empêché de faire apparaître à chaque fois que je te vois ou entend).

Même dans mon bus (celui de la ligne 10 qu’on attend toujours) ce sourire était collé à moi je me moquais de tout puisque seule toi comptais (et compte toujours).

Dans mon bus je vois Ben-j qui me regarde attentivement (avec ses mimiques qui montrent et prouvent qu’il cherche quelque chose à me dire) puis il me dit finalement :

- « Putain Dau c’est quoi se sourire à la con que tu me fais »

Moi ne répondant pas, bloqué par se bonheur intense rien qu’en pensant à toi, Ben-j revins à la charge et répliqua :

- « C’est bon! Dis rien j’ai trouvé se qu’il y a, toi tu est amoureux! »

En effet, il n’avait pas tord j’était vraiment amoureux (et je le suis toujours).

Mon retour à la maison se fit comme d’habitude : lentement et les cheveux aux vent mais il y avait ce grand plus en moi qui faisan battre mon cœur plus rapidement (ça m’arrive toujours quand je pense à toi ou que je te vois).

Arrivé dans ma chambre, je pose mon sac, j’allume ma lampe de chevet ,je ferme mes volets, j’allume ma lampe de bureau et je m’installe à mon poste de travail. Là, je suis dans une rêverie la plus profonde (et oui, je pensais à toi). Aujourd’hui je venais de prendre de la hauteur, je nageais en plein bonheur. Mais tout à coup, soudainement un flash un appareil photo venait de se déclanché mon loin de moi se qui me fit tirer la gueule comme quant on fait un rêve merveilleux et que le réveil sonne (dans mon cas le rêve était réel).

C’était ma mère qui venait de me prendre en photo et là, la discussion s’amorce :

- « Mais qu’est que tu fais?!

- Ben! Je te prend en photo!

-Ouai merci j’ai remarqué! Mais pourquoi t’as fais ça?

-C’est pas souvent qu’on te vois avec le sourire! »

Voila maintenant tout le monde était au courant, je t’aimais (et je t’aime toujours) et se n’était plus un secret car à l’heure qu’il était, Ben-j avait du faire le tour de son répertoire et appelé tous mes potes pour annoncer la nouvelle ( il m’a toujours soutenu le contraire mais bon quand comme par hasard tout mes potes ou du moins le majeur parti t’appelle ce soir là pour prendre des nouvelles, c’est louche!!!).

Le lendemain matin, pour la première fois du ma vie j’étais heureux de me lever pour allé au lycée (dorénavant je le suis toujours) car j’allais enfin pouvoir te retrouvé car toute la soirée tu m’avais manqué au plus au point (comme à chaque fois que tu n’est pas là).

Voila je tenais à l’écrire un jour.

A toi que j’aime.

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